Il faut en finir une fois pour toutes avec le mythe de l’islam tolérant si bien véhiculé en Occident par les mondialistes, les syncrétistes, les athées agnostiques, les humano-imanistes relayés dans leur besogne 24 heures sur 24 par les satrapes qui commandent les strato-médias. En pérorant de la sorte, ils ne font que distiller la vieille rengaine des vainqueurs du jihad, le monologue du croissant imposé à l’histoire. Mais comme cette dernière n’est de loin pas symétrique, il nous faut absolument écouter la voix des peuples vaincus puis soumis à l’occupant musulman ; c’est alors seulement que nous pourrons en parler de manière objective.
Entre l’harmonie parfaite sans cesse rabâchée par les panislamistes et la terrible situation décrite par les dhimmis, il y a un fossé qu’on ne saurait négliger au risque d’en payer le prix un jour ou l’autre.
Pourtant, à mesure que nous avançons dans une étude approfondie du sujet, nous nous apercevons que la fiction idyllique s’estompe et finit par disparaître pour faire place à la dure réalité du jihad et de la dhimmitude.
Hélas ! ! À l’heure actuelle nous avons à subir sous nos latitudes, par niaiserie, les éructations des mahométans et de leurs apologistes dévoués prêchant à tous vents « la coexistence pacifique qui règne dans l’état islamique pluriculturel ». Mais, dans la réalité concrète, les Serbes dans les Balkans et les Arméniens en Asie Mineure, loin d’être dupes, y décèlent à juste titre le système de la charia qui les décima.
En effet, toutes sortes de méthodes furent et continuent d’être utilisées pour mener à bien la « coexistence harmonieuse et pacifique » dont voici les résultats :
Des centaines de milliers de victimes férocement torturées, sauvagement mutilées, éventrées, empalées, décapitées, pendues, écartelées, dépecées et hachées en menus morceaux… Tel est le bilan de la monstrueuse sauvagerie coranique, avec, pour couronner le tout, l’extermination raciale systématique qu’on appelle génocide.
Rien n’est trop bon pour parvenir au but fixé par la « guerre sainte » menée au nom de l’idole de la Mecque. Le même genre de procédés furent appliqués à d’autres peuples : Grecs, Bulgares, Juifs, Assyrochaldéens, Coptes, Syrolibanais, Soudanais… (la liste est loin d’être exhaustive) eurent également à subir les affres des serviteurs d’Allah.
Et qu’en est-il de ceux qui ont eu la « chance » d’en réchapper !? Il leur reste la condition de dhimmitude (l’état d’être inférieur, vulnérable, humilié, dégradé, aliéné, privé de tout).
Il est donc grand temps de rembarrer les propagandistes et d’en finir avec l’ostracisme dont sont victimes les peuples ayant été ou étant toujours dhimmis. Les alliances contre nature qui sont régies par un opportunisme vicieux (par ex : croato-musulmane), la real politik tenant compte des pétrodollars et des ukases des puissances du moment, les pressions exercées par les lobbies et les fortes minorités musulmanes en occident, etc. ne servent finalement qu’à favoriser par des gains territoriaux, la guerre de conquête que mènent les moudjahidines. De plus, il est intéressant de noter que les deux grands systèmes totalitaires que sont le communisme et le nazisme eurent bien plus qu’une frange du monde musulman comme alliés et qu’à l’heure actuelle, les néo-communistes occidentaux font de même.
Que ces derniers prennent garde ! Car on ne met pas la main au feu sans se brûler, comme le dit si bien l’adage populaire !!
À l’attention des lecteurs intéressés d’en savoir plus, voici quelques excellents ouvrages concernant ce sujet.
Joël Ivanko PAVICEVIC
Indications de lecture
Bat YE’OR : Les Chrétiens d’Orient entre jihad et dhimmitude, Cerf, Paris, 1990. Juifs et Chrétiens sous l’islam. Les dhimmis face au défi intégriste. Berg International, 1994.
Dusan T. BATAKOVIC : Yougoslavie, Nations, Religions, Idéologies, L’Âge d’Homme, Lausanne, 1994. La spirale de la haine. Les faits, les acteurs, l’histoire, L’Âge d’Homme, Lausanne, 1992.